Ik heb mooie grote Pro bruxsel stickers laten drukken om op de auto’s te laten kleven. Gewoon het logo met de tekst:
Deze avond zijn Chantal en ik ook naar de Claridge geweest waar een avond was gepland voor de “beau Monde” van Brussel. Het was inderdaad zo dat het meer op een privé feestje van de elite van Brussel leek dan een echt Brussels feest. Zelfs mevrouw Uytebrouck heeft de tijd genomen om zich als echte vedett te komen wanen. Desondanks ze ons beide kent, spendeerde ze zelfs geen blik aan ons. Dat hoort waarschijnlijk bij het vedettschap van Hare Groene Hoogheid.
Ik heb nog vlug een paar fotootjes genomen van mijn autootje om mijn mooie stickers te kunnen laten zien. Het was al donker maar ik zal later nog een fotootje trekken in de dag.
MORGEN WORDEN DE LIJSTEN BINNEN GEBRACHT OM 13 UUR AAN HET JUSTITIE PALEIS. IEDEREEN IS WELKOM OM DIT EVENEMENT TE KOMEN MEEMAKEN. DE EERSTE TWEETALIGE BRUSSELSE PARTIJ OOIT!!!!!!
en dan nog het laatste goede nieuws door middel van een artikel van Le soir:
Alain Maskens sera candidat
Politique Le fondateur (démissionnaire) de Manifesto rejoint ProBruxsel
Si la plupart des listes électorales sont clôturées, tel n’était pas le cas pour ProBruxsel. Nouveau venu sur la scène régionale, le parti a confié sa 72e place à Alain Maskens.
Fondateur de l’ASBL Manifesto, auteur de trois Manifestes bruxellois, ce cancérologue a activement contribué à secouer la société civile bruxelloise, ces dernières années.
Convaincu que les Bruxellois doivent prendre leur avenir en mains, en revendiquant, pour leur Région, davantage de compétences, Alain Maskens a, au fil des mois, porté la cause régional(ist)e bruxelloise dans tous les cénacles. « Un exemple : l’enseignement ; il faut que Bruxelles puisse gérer ses écoles, sans dépendre des Communautés française et flamande. Pour prendre en compte nos spécificités, comme la nécessité d’un bilinguisme poussé français/flamand ou de programmes intégrant mieux la diversité. »
Depuis 2003, date du premier Manifeste, le message a pris corps. Autour de Manifesto puis d’Aula Magna, des représentants de la société civile se sont investis dans les Etats généraux. Qui ont fait naître « un sentiment d’appartenance à Bruxelles, davantage qu’une identité bruxelloise », se félicite Alain Maskens. Un parti, aussi, ProBruxsel qui a, voici plusieurs mois, fait le constat que les partis démocratiques pensaient encore souvent la Belgique (et sa capitale) comme la réunion de deux Communautés. Alain Maskens, lui, a tenté jusqu’au bout de convaincre les partis traditionnels. En vain. « Je rejoins donc ProBruxsel, comme indépendant », annoncera-t-il officiellement ce matin.
Non sans avoir longuement hésité. Parce qu’il ne nourrit guère d’ambition politique. « Mais j’ai le sentiment que beaucoup de choses ont bougé, ces derniers mois à Bruxelles, c’est fort ce qui s’est passé. On a une opportunité, il faut la saisir. Alors, je franchis le pas. En espérant planter une petite graine qui, un jour, sera un arbre. » Celui d’une Région largement maîtresse de son destin.
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